Actus

Une unité inclusive de scoutisme menacée de disparition à Bruxelles

La septantième est une unité de scoutisme ouverte aux enfants présentant un retard de développement mental. Diverses activités adaptées aussi bien aux enfants différents qu’aux autres sont organisées. Mais cette unité, l’une des deux seules inclusives à Bruxelles, est aujourd’hui menacée de disparition à cause du trop petit nombre d’inscrits. 
Et pour cause : cette année, il y a seulement six louveteaux et quatre baladins inscrits. Si cela ne change pas rapidement, l’unité n’aura d’autre choix que sa dissolution.

Recherche active de petits louveteaux

Les chefs scouts et autres membres de l’unité recherchent donc activement des enfants de 6 ans et +, avec ou sans « spécificité », pour repeupler l’unité. N’hésitez pas à inscrire vos enfants et/ou à partager l’info autour de vous, au sein de vos réseaux…
 

Quelques mots sur la septantième

Située dans la région de Bruxelles-Capitale à Woluwe-Saint-Pierre, la 70e regroupe des jeunes de 6 à 18 ans encadrés par une vingtaine d’animateurs qui respectent le code qualité de l’animation scoute. La septantième est une des rares unités mixtes et ouvertes aux enfants porteurs de handicap. Mais pour eux, ce sont des enfants extraordinaires. Les réunions se tiennent généralement tous les quinze jours le dimanche, en général le même jour pour toutes les sections, les dates précises étant fixées en début d’année. En plus de cela, il y a des sorties, des week-ends et bien sûr le grand camp se déroulant en juillet.

Contact

Via leur site internet : https://www.laseptantieme.be/
À LIRE AUSSI :

Droits de l’enfant : Unicef Belgique a alloué plus de 17 millions d’euros en 2021

Unicef Belgique a alloué près de 17,2 millions d’euros à des programmes en faveur des droits de l’enfant en 2021. C’est ce qui ressort du rapport annuel, publié lundi 25 avril, de la section belge du Fonds des Nations unies pour l’enfance.

Cette somme a servi à financer des programmes de développement et d’urgence à l’étranger, mais aussi des activités de plaidoyer (lobbying, marketing social, information, éducation, communication…) et de sensibilisation en Belgique.

Lourd impact du Covid-19

Selon l’Unicef, la pandémie de Covid-19 a eu un lourd impact sur ses activités et sur la situation des enfants dans le monde. Le virus a en effet engendré une aggravation de la pauvreté, des inégalités et des conflits. En plus de programmes spécifiques centrés sur certains pays, Unicef a également opéré au niveau mondial global en soutenant le mécanisme COVAX qui avait pour vocation de fournir des doses de vaccins contre le coronavirus aux pays qui n’avaient pas les moyens de s’en procurer. Grâce à ce système, l’organisation a pu distribuer 980 millions de doses de vaccin dans 144 pays à travers le monde.

De généreux donateurs

Unicef Belgique a récolté, en 2021, un total de 21.336.097 euros. Ces recettes proviennent principalement des 90.652 parrains et marraines de l’organisation, de plus en plus nombreux au fil des années. Ceux-ci représentent désormais 52% des recettes de l’Unicef en Belgique. Viennent ensuite les legs de testateurs (20%) ainsi que les dons et l’achat de « HappyPacks » – des boites de produits qui sont directement envoyés sur le terrain – qui représentent la troisième principale source de revenus avec 15% des recettes. Le reste provient d’entreprises, de subsides gouvernementaux et de sources diverses.

80% des dons alloués aux droits de l’enfant

Sur ce montant, 4.165.448 euros ont été utilisés pour des frais de récolte de fonds et d’administration. Le reste, soit 17.170.649 euros (80,5%), a servi pour des programmes en faveur des droits de l’enfant. Un peu moins de 15 millions d’euros ont été investis dans des programmes à l’étranger. L’Unicef a notamment amélioré l’accès à des installations sanitaires en Inde, participé à la reconstruction aux Philippines après le passage du typhon Ray, lutté contre l’obésité infantile au Mexique en améliorant les repas de cantines, aidé les enfants migrants non accompagnés en Europe à trouver une famille d’accueil et assaini les écoles en République Démocratique du Congo pour favoriser l’égalité entre filles et garçons.

2 millions d’euros pour la Belgique

En ce qui concerne la Belgique, l’Unicef a investi 2.314.173 euros pour des plaidoyers sur les droits de l’enfant, principalement sur les jeunes vivant en situation de pauvreté et ceux victimes de problèmes de santé mentale consécutifs à la pandémie. L’organisation a également organisé des journées d’éducation pour les enfants visant à leur prodiguer une meilleure connaissance de leurs propres droits.

(Article Belga)

 

À LIRE AUSSI :

Vaccin contre la méningite : il faut sensibiliser les parents !

Depuis plusieurs années, la société GSK, l’un des dix géants de l’industrie pharmaceutique mondiale, tape sur le clou (par le biais de campagnes de sensibilisation) pour faire comprendre l’importance du vaccin contre la méningite. Pour la journée mondiale consacrée à la lutte contre cette maladie rare, la société a encore insisté : il faut faire en sorte que les parents puissent prendre une décision éclairée sur la façon de protéger au mieux leurs enfants contre les différents types de méningocoques.

Appelée « Ensemble Contre La Méningite », la campagne de la société GSK s’appuie sur l’exemple de Ambre, une petite fille qui a contracté une infection à méningocoques à l’âge de 8 mois lorsqu’elle était en vacances en Thaïlande. Elle a survécu à la maladie mais a conservé des cicatrices permanentes sur la peau. Ce focus sur un enfant en particulier peut éventuellement interpeller ou choquer, mais sert justement à marquer les esprits et à personnifier la maladie et ses dangers… Un exemple parmi d’autres qui pourrait conscientiser les parents à l’importance de cette vaccination non remboursée et pas encore reprise dans le carnet vaccinal obligatoire.

Risques élevés

Dans un article publié l’an dernier sur Hospichild, nous évoquions déjà le sujet dans le cadre des revendications de la Société Belge de Pédiatrie (SBP) pour que le vaccin soit enfin remboursé. Une brochure avait ainsi permis d’en savoir plus sur la maladie. On pouvait notamment y lire : « La méningite est parfois imprévisible. Il est important d’instaurer le traitement le plus rapidement possible. Même lorsqu’elle est prise en charge, avec les antibiotiques adéquats, elle peut être fatale chez 5 à 10 personnes sur 100 traitées. 1 survivant sur 5 peut souffrir de séquelles importantes. »  

Il faut aussi préciser que l’infection à méningocoques est une maladie inhabituelle et rare dont le diagnostic est encore peu évident à poser pour les professionnels. Elle est très difficile à reconnaître, surtout dans les premières heures. Quand elle est détectée, il faut faire vite, car la méningite évolue très rapidement.

Les vaccins : prévention par excellence

Un an après la SBP, c’est au tour d’un organisme un peu moins neutre (GSK) de prendre le relais de la sensibilisation. La société veut notamment informer les parents que des vaccins sont maintenant disponibles pour les cinq principaux types de méningocoques. Sur son nouveau site ensemblecontrelameningite.be, GSK donne toutes les précisions à ce sujet. : « Il existe des vaccins pour les 5 types de méningites (méningocoques A, B, C, W et Y) à plus fort potentiel de déclenchement de la maladie. Trois types de vaccins sont disponibles :

  • Vaccin contre le méningocoque C
    (dans le calendrier vaccinal)
  • Vaccin contre le méningocoque B
  • Vaccin combiné contre les méningocoques ACWY »

L’avis du Conseil supérieur de la santé

« En mars dernier, le Conseil supérieur de la santé a adapté ses recommandations sur la vaccination des enfants et des adolescents contre la méningite. Il recommande à présent de remplacer le vaccin monovalent actuel contre le méningocoque C par le vaccin quadrivalent conjugué contre les sérogroupes A, C, W et Y (de 52 euros, rappel après 5 ans). Une version non conjuguée, et moins coûteuse, existe mais elle offre une protection de moins longue durée (36 euros, rappel après 2 ans) », lit-on finalement dans un récent article du Soir.

 

À lire sur le même sujet

Enfants et ados ukrainiens réfugiés à Bruxelles : comment les aider ?

À Bruxelles, depuis que la phase provinciale de crise a été déclenchée (le 16 mars dernier), il est établi que c’est le Ministre président Rudy Vervoort qui est en charge de la crise humanitaire ukrainienne dans la capitale. Un « plan d’aide aux enfants qui fuient l’Ukraine pour la Belgique » a également été lancé par la ministre de la Coopération au développement, en collaboration avec Unicef, débloquant un budget de 2 millions d’euros. Des synergies vont désormais se mettre en place entre les différents acteurs de terrain pour « garantir une coordination optimale ». En ce qui concerne spécifiquement l’accueil des enfants et des ados et leurs familles (si tant est qu’ils en aient une), les organisations s’activent et tentent de mener des actions communes.

Tour d’horizon et pistes de solutions pour aider ces enfants qui sont parfois malades, non accompagnés ou encore orphelins.

Phase provinciale de crise déclenchée à Bruxelles

Face à la crise humanitaire ukrainienne, les autorités bruxelloises viennent de lancer la « phase provinciale de crise ». Ils entendent ainsi garantir une coordination optimale entre les différents niveaux de pouvoir ainsi qu’une organisation cohérente des initiatives communales et régionales sur le territoire bruxellois. Concrètement, une gestion de crise provinciale signifie qu’un Comité de Coordination associant « les cinq disciplines »  – opérations de secours; secours médicaux, sanitaires et psychosociaux; missions de police; appui logistique; information à la population et soutien à l’autorité administrative – est mis en place en concertation avec les autorités locales. Concernant la gestion de l’accueil des familles ou des mineurs étrangers non accompagnés, une série d’initiatives ont déjà été mises en place. Les organismes ou associations telles que ONE (service agrément familles accueil), DEI (défense enfants international), AISPN (association des infirmiers spécialisés en pédiatrie/néonatologie), MSF Belgique, Médecins du monde, CROIX rouge Belgique, UNICEF Belgique… devraient bientôt s’entretenir pour coordonner au maximum leurs actions.

Lancement d’un « plan d’aide aux enfants qui fuient l’Ukraine pour la Belgique »

La ministre de la Coopération au développement Meryame Kitir a lancé, le 23 mars dernier, en collaboration avec l’Unicef, un plan pour protéger les enfants en fuite depuis l’Ukraine jusqu’en Belgique. Elle a pour ce faire débloqué un budget de 2 millions d’euros supplémentaires. Par ce soutien, la Belgique va œuvrer au renforcement de l’enregistrement et du screening des enfants sur place et étoffer les soins psychosociaux. « Les enfants doivent être protégés depuis le point de départ jusqu’à l’arrivée. C’est pourquoi la ministre Kitir a demandé à Unicef Belgique de renforcer la protection des enfants en Belgique également ».

Appel urgent aux dons pour les enfants ukrainiens cancéreux

Cinq organisations belges (Kickcancer, Childrencancer.be, Sun Child, Aide aux enfants cancéreux et Kinderkankerfonds) sont prêtes à accueillir, en fonction des lits disponibles dans les services d’oncologie pédiatrique, environ 30 enfants ukrainiens en attente de soins urgents, ainsi que leur famille. Pour ce faire, elles ont besoin d’un soutien financier d’environ 400.000 euros et appellent à vos dons.

Sun Child, A.E.C., Kinderkankerfonds et Tuki s’occuperont de l’accueil des enfants malades et de leur famille : recherche d’un logement, assistance financière, achat de matériel, aide logistique pour les transports, prise en charge de certains soins non remboursés par la sécurité sociale belge… KickCancer jouera pour sa part un rôle de coordination entre la Belgique et les pays européens.

→ Pour faire un don : Fondation Roi Baudouin – KickCancer Ukraine
Compte : BE10 0000 0000 0404
Communication : 623/3701/40086

Ou en ligne via le formulaire prévu à cet effet.

Aides sanitaire, psychologique, d’hébergement…

Sur le récent portail belge dédié à la crise humanitaire en Ukraine, traduit en six langues, une multitude d’informations sur l’aide urgente proposée aux réfugiés sont disponibles. Pour l’hébergement, après l’enregistrement, il est primordial de demander un certificat de protection temporaire auprès de l’Office des étrangers. Grâce au statut de protection temporaire, la demande de la carte « A » pourra être introduite auprès de la commune. Travailler sera alors possible, ainsi que de s’inscrire à l’assurance maladie obligatoire et demander des services sociaux auprès du CPAS de la commune de résidence. Concernant finalement l’aide psychologique, une série d’associations reprises ici peuvent être contactées directement.

Quid du côté néerlandophone

La plupart des associations d’aide aux réfugiés sont bilingues, mais d’autres initiatives se retrouvent uniquement du côté néerlandophone de Bruxelles. Par exemple, Minor-Ndako offre des soins et un accompagnement adaptés aux enfants, aux jeunes et à leur contexte dans une situation problématique. Ils sont particulièrement actifs pour l’accueil des mineurs ukrainiens. L' »Organisatie voor bijzondere jeugdzorg (OVBJ) » peut également être contactée pour un hébergement d’urgence des mineurs ou pour un accompagnement global. Enfin, l’association Solentra (liée à l’hôpital UZ brussel) propose, en sa qualité d’expert en psychiatrie transculturelle, des soins et une aide psychologiques à de jeunes réfugiés et enfants migrants ainsi qu’à leur famille.

Liens utiles

Pour les parents d’enfants ukrainiens :

  • Livre pour enfant en ukrainien (disponible en ligne) afin de les aider sur le plan psychologique
  • Activités à proposer aux enfants réfugiés :

Le Wolf, maison de la littérature de jeunesse accueille les familles ukrainiennes et les jeunes enfants

– Rhizone, creative space : activités ludiques pour les familles réfugiées

Ecole De Musique Tchaikovsky accepte gratuitement tous les enfants ukrainien

Cours de français et de néerlandais pour les réfugiés ukrainiens

  • Groupes Facebook en ukrainien :

– Помощь украинцам в Бельгии | Aid to Ukrainians in Belgium

– Segítségnyújtás (Ukrajna,Kárpátalja)🙏🏻 Допомога українцям

– Groupe Facebook privé officiel de l’aide aux mineurs ukrainiens : « Associaton of hosting families for orphans »

Pour le grand public :

Pour ceux qui hébergent ou qui veulent héberger des familles ukrainiennes :

Pour les professionnels :

Pour les écoles :

→ Si vous possédez d’autres informations liées aux enfants réfugiés d’Ukraine, contactez-nous via info@hospichild.be

Covid-19 : pour une approche plus humaine des visites à l’hôpital

Deux ans après le début de la pandémie, les règles en matière de visites à l’hôpital (ou en maisons de repos) en période Covid plongent encore de nombreuses familles dans de grandes souffrances. Les parents d’un enfant hospitalisé notamment ont du se couper en deux pour pouvoir l’accompagner dans ses soins… De plus, les règles sont variables d’institution en institution, d’hôpital en hôpital, et aucun cadre cadre légal n’est prévu. Sans parler des mesures encore extrêmement restrictives… Pour une approche plus humaine de la question et un cadre légal uniforme, plusieurs associations, chapeautées par La Ligue des familles, ont décidé d’en débattre et de voter au Parlement.

humanity hospitalisation

Les autres associations concernées : la Ligue des droits humains, Eneo, Espace Seniors, la LUSS, le Gang des Vieux en Colère, Senoah, Respect Seniors, le Bien Vieillir, Senior Montessori, Entr’âges et AISBL Générations.

{Communiqué de presse de la Ligue des Familles}

Familles en souffrance

Il y a ces parents qui viennent d’être confrontés à l’annonce d’un cancer chez leur petit garçon de 3 ans, à qui l’on explique, au moment du transfert vers un autre hôpital, que seul l’un d’eux pourra accompagner l’enfant aux urgences pour les examens complémentaires, puis pendant les premiers jours d’hospitalisation… sans même un accès à la douche ni à l’espace habituel pour les parents, avec frigo et micro-ondes.

Ou ces parents d’un bébé de 11 jours hospitalisé en soins intensifs : « Nous avons appris qu’un seul parent pouvait rester auprès de notre bébé et ça a été très difficile à supporter parce que sa situation était assez critique. Ma compagne – qui venait d’accoucher – et moi ne nous sommes pas vus pendant 6 jours puisque nous nous relayions aux côtés de notre enfant. » Même son de cloche chez cette maman d’un bébé de 8 mois hospitalisé pour pneumonie : « Je me suis retrouvée à partir du mercredi au dimanche soir en isolement total avec elle. Ni elle, ni moi, ne pouvions sortir de la chambre. Que ce soit pour chauffer un biberon, pour demander une cuillère pour une purée, pour faire une tournante avec mon mari pour qu’il fasse une nuit et pour me permettre de voir nos deux grandes. »

(…)

Et puis tant d’autres personnes hospitalisées ou en perte d’autonomie, aux souffrances physiques et psychologiques desquelles vient s’ajouter un isolement total ou partiel dû à des conditions de visites très strictes. « On est derrière les barreaux », nous explique ressentir une maman d’enfant hospitalisé.

Des règles de visites variables d’institution en institution

Les situations sont extrêmement variables d’un hôpital à l’autre, et pour cause : il n’existe aucun cadre légal. Le médecin chef de chaque hôpital peut restreindre les possibilités de visites en fonction de la situation dans et hors de l’hôpital. Les chefs de service ont également la possibilité de fixer des règles différentes pour leur propre service. Un même jour, un hôpital peut assouplir les conditions de visites tandis qu’un autre les renforce. À situation identique, certains hôpitaux interdisent toute visite, tandis que d’autres autorisent deux visiteurs différents chaque jour. Certains autorisent les visites des frères et sœurs des enfants hospitalisés, d’autres interdisent toute visite d’enfant.

(…)

Une violation de droits fondamentaux

Ces règles relatives aux visites dans les hôpitaux et les maisons de repos violent manifestement l’article 8 de la Convention européenne des droits de l’homme, qui protège le droit au respect de la vie privée et familiale. En limitant le nombre de visites familiales, le nombre de visiteurs ou en imposant des conditions liées à l’âge de ceux-ci, les établissements se rendent coupables d’une ingérence illégale des droits garantis par l’article 8 de la CEDH, puisque aucun cadre légal ne prévoit cette restriction.

Pour un cadre légal uniforme et humain

La Ligue des familles et les associations qui l’accompagne appellent à :

  • Une approche plus humaine des règles en matière de visites.
  • Un cadre légal qui fasse l’objet d’un débat démocratique.
  • Des règles communes aux différentes institutions, applicables selon les différents stades de la situation sanitaire. A situation égale, les personnes doivent être traitées de la même manière.
  • Un droit minimum aux visites en maison de repos et à l’hôpital, garanti quelle que soit la situation sanitaire.
  • Le droit pour les résidents des maisons de repos d’aller et venir librement, au même titre et sous les mêmes conditions que le reste de la population.
  • La fin des bulles en maisons de repos, en cohérence avec l’évolution des règles pour le reste de la société et qui fait d’autant plus sens depuis que les personnes résidant dans ces institutions ont désormais pu être vaccinées.
  • Une attention particulière pour les enfants de tous âges, qui doivent pouvoir à la fois rendre visite à leurs proches en maison de repos ou hospitalisés et être accompagnés de leurs deux parents quand ils sont hospitalisés, quelle que soit la situation sanitaire.

 

À LIRE AUSSI :